vastes «dopattas» dans lesquels on s’enveloppe, en coton ou soie.
L’éblouissant savoir-faire que révèlent ces tissages arachnéens, l’usage de teintures naturelles disparues (l’indigo par exemple), de techniques complexes (l’ikat) n’empêchent pas la tradition d’être sans cesse revisitée par les désigners indiens (ici, Bina Rao ICB 1 à 48) : nouveaux procédés (soie stretch), mélange de matières (soie et jute), etc.
autres châles traditionnels
châles Todas
Brodeuses des monts Nilgiri, Est de l’Inde. Une mère et sa fille, de la tribu Toda, brodent de motifs géométriques distinctifs les châles que tisse et porte ce peuple pastoral des montagnes.
dopattas
vastes châles dans lesquels on s’enveloppe, en coton ou soie.
L’éblouissant savoir-faire que révèlent ces tissages arachnéens, l’usage de teintures naturelles disparues (l’indigo par exemple), de techniques complexes (l’ikat) n’empêchent pas la tradition d’être sans cesse revisitée par les désigners indiens (ici, Bina Rao ICB 1 à 48) : nouveaux procédés (soie stretch), mélange de matières (soie et jute), etc.
autres châles traditionnels
Châle traditionnel de Santinikétan, la ville de R.Tagore, au Bengale : le trait de la brodeuse dessine sur la soie animaux, symboles, personnages, du quotidien familier.
châles Todas
Brodeuses des monts Nilgiri, Est de l’Inde. Une mère et sa fille, de la tribu Toda, brodent de motifs géométriques distinctifs les châles que tisse et porte ce peuple pastoral des montagnes.