Le kimono, littéralement « chose que l’on porte sur soi » est le vêtement traditionnel japonais. Sa coupe en T n’a pas changé depuis des siècles : Dans une bande de tissu on découpe 7 pièces droites pliées et cousues, mais jamais recoupées.
Un kimono de qualité représente bien plus que son simple usage : Sa symbolique, la façon de le porter comportent des messages sociaux très précis : le décor change selon l’âge, le sexe, le statut marital, la condition de celui qui le porte, la formalité de l’événement. C’est un objet d’art qui peut se transmettre de génération en génération. La richesse de sa matière en fait un capital, élément estimé de la dot d’une jeune mariée.
De nos jours, il a été remplacé par le costume occidental et n’est plus porté que pour les grandes occasions. Mais savoir l’endosser fait partie de la bonne éducation d’une femme. L’enseignement de cet art est en plein essor et les établissements spécialisés prolifèrent.
Le prix d’un kimono neuf pouvant s’élever à plusieurs milliers d’euros, ces dernières années ont vu naitre un engouement pour les kimonos d’occasion.
Kimonos Haoris
Le haori, vêtement officiel pour toute invitation d’ordre privé, est devenu dès le 17ème une tunique d’extérieur porté sur le kimono par tout le monde sans distinction de sexe ou de milieu, sa longueur dépendant de la mode en vigueur. De même coupe que le kimono, il se ferme devant par des cordons cachés de diverses manières. Encore aujourd’hui, le haori est un vêtement porté par toutes les classes de la société, avec tout ce qui est contemporain (un jean, par exemple).
Cliquez sur les photos, vous verrez les matières et les doublures.
De nos jours, les principales différences entre les kimonos féminins et masculins sont les motifs et la couleur. Un kimono d’homme est sombre et, le plus souvent, d’une seule couleur : noir, bleu indigo, vert foncé, parfois marron.
La nuque des femmes est au Japon objet d’érotisme :
il est important que le kimono la dévoile dans une discrète mais brûlante mise en scène.
Le kimono, littéralement « chose que l’on porte sur soi » est le vêtement traditionnel japonais. Sa coupe en T n’a pas changé depuis des siècles : Dans une bande de tissu on découpe 7 pièces droites pliées et cousues, mais jamais recoupées.
Un kimono de qualité représente bien plus que son simple usage : Sa symbolique, la façon de le porter comportent des messages sociaux très précis : le décor change selon l’âge, le sexe, le statut marital, la condition de celui qui le porte, la formalité de l’événement. C’est un objet d’art qui peut se transmettre de génération en génération. La richesse de sa matière en fait un capital, élément estimé de la dot d’une jeune mariée.
De nos jours, il a été remplacé par le costume occidental et n’est plus porté que pour les grandes occasions. Mais savoir l’endosser fait partie de la bonne éducation d’une femme. L’enseignement de cet art est en plein essor et les établissements spécialisés prolifèrent.
Le prix d’un kimono neuf pouvant s’élever à plusieurs milliers d’euros, ces dernières années ont vu naitre un engouement pour les kimonos d’occasion.
Kimonos Haoris
Le haori, vêtement officiel pour toute invitation d’ordre privé, est devenu dès le 17ème une tunique d’extérieur porté sur le kimono par tout le monde sans distinction de sexe ou de milieu, sa longueur dépendant de la mode en vigueur. De même coupe que le kimono, il se ferme devant par des cordons cachés de diverses manières. Encore aujourd’hui, le haori est un vêtement porté par toutes les classes de la société avec tout ce qui est contemporain.
Cliquez sur les photos, vous verrez les matières et les doublures.
De nos jours, les principales différences entre les kimonos féminins et masculins sont les motifs et la couleur. Un kimono d’homme est sombre et, le plus souvent, d’une seule couleur : noir, bleu indigo, vert foncé, parfois marron.
La nuque des femmes est au Japon objet d’érotisme :
il est important que le kimono la dévoile dans une discrète mais brûlante mise en scène.